Trauma money
Moins de trigger warnings que prévisible dans cette lettre, mais tout de même quelques-uns.
On m’a dit récemment que je parlais souvent de sujets traumatiques, ce qui est vrai. Pour être un peu juste avec moi, on me l’a dit dans un café situé près du seul commissariat un peu décent (!!!!!???) de Paris, après que j’y sois allé·e trois fois de suite pour : témoigner, parlementer au téléphone avec la police, accompagner une victime pour un dépôt de main courante. On peut comprendre la provenance de ce branding, comme disent les gens de droite. Je suis comme Irene1, j’aimerais ne pas avoir à faire appel à la police, mais quand l’alternative c’est ça ou nous taire tandis que les agresseurs vivent leur meilleure vie…